Saviez vous que les vampires ne supportaient pas la lumière du soleil ? Eh bien je peux vous le confirmer, elle leur attaque sévèrement la peau ! Ça en plus du fait qu'elle éblouit les ténèbres quu vivent à l'intérieur d'eux qui contrôlent la dépouille maudite.
Mais attendez, comment je suis au courant de tout ça au fait ? Aurais je eu accès aux mémoires secrètes de Vlad Tepes précieusement gardées en Transylvanie ? *_*
Que nenni ! Dans le souci d'apporter une information claire et sans détour à mes lecteurs, j'ai décidé d'en savoir plus sur ces créatures en me rendant au nid de vampire le plus proche de chez moi : l'Hôtel des impôts.
Autant dire que je n'ai pas mis longtemps avant de les trouver. Sitôt entré, j'ai été mis mal à l'aise par l'atmosphère empathique qui se dégageait du personnel qui faisait de prudents allers retours entre les bureaux d'accueils et le premier étage. Alors que j'annonce venir pour demander la possibilité d'effectuer un stage chez eux, l'hôtesse me tend un bout de papier et m'indique le plus court chemin vers la cave. Gloup ! *_*
Pas dégonflé pour autant (ta daa !), je prend mon courage à quatre mains et je me dirige vers une salle à l'écart des autres bien plus miteuse que le reste du bâtiment. Prudemment, j'ouvre la porte où il est indiqué : Cave. Défense d'entrer ! Danger de mort ! Imperturbable, j'entrouve l'inquiétant accès qui s'offre à moi et d'où se dégage un très fort grincement. J'emprunte alors les escaliers en bois qui m'entraînent dans une pénombre aussi caverneuse qu'hostile.
Arrivé en bas, je tombe sur un couloir renfermant un petit bureau sur la droite faiblement éclairé par une torche. J'entre, je donne mon bout de papier, l'homme assis dans le bureau le lit et me demande si j'ai peur du noir. "Moi, peur du noir ?" lui lance je fièrement pas perturbé pour un euro. Il me donne alors un laissez passé et me dit de suivre le couloir jusqu'au bout, instruction que j'exécute aussitôt. Tout en longeant ce damné couloir à peine éclairé, il me parait flotter dans l'air une odeur âcre de moisi, comme si on avait laissé pourrir ici des fruits pendant des siècles.
Enfin, j'arrive au bout de mes peines en apercevant plusieurs cercueils au bout du couloir. Poliment, je prends la peine de toquer sur celui qui me paraît être le plus petit histoire de ne pas déranger le grand patron. Quasi spontanément, la boîte noire s'ouvre, laissant apparaître un homme brun vêtu d'un costume cravate noir. Encore dans le cirage, il m'adresse un regard vitreux avant de s'attarder brièvement sur mon cou pour se décider à me parler.
Rapidement, je lui explique le pourquoi du comment, que je suis là en fait pour faire un petit article sur les vampires, que c'est pour un blog hyper connu et qu'avec un peu de chance, un producteur le remarquera et qu'il pourra enfin se payer le cercueil de ses rêves en devant la star d'un nouveau film d'horreur à succès. Méchant mais naïf, le bougre finit par se laisser convaincre et me laisse accès à ce qu'il a appelé le convertisseur dimensionnel de la dimension Delta. Gné ?
En gros, et pour faire simple, il s'agirait d'un miroir où se reflètent par le biais d'un être la quintessence même des vampires suceurs de fric. Intrigué, je décide, armé de mon minuscule appareil photo dissimulé dans la poche avant de ma chemise, de me mettre en chasse de ce mystérieux miroir. Il ne me fallut pas longtemps pour le dénicher d'ailleurs puisque j'aperçus rapidement sur ma gauche un coin étonnament empli de clarté. Mais la lumière qui envahissait cette portion de couloir était plutôt froide, encourageant à trembler plutôt qu'à transpirer.
C'est alors que l'objet en question, le fameux "convertisseur", se dresse maintenant devant moi. Curieux, je m'en rapproche alors et je constate que plus je m'approche, plus la lumière abonde et plus la fraîcheur augmente. Interloqué, je me retrouve finalement face à face avec mon reflet dans ce miroir. D'abord normale, mon image va alors se déformer petit à petit pour laisser place à un double de ma propre personnalité mais en forme de vampire ! Berck *_*
Gagné par le frémissement de détenir un fameux scoop, je sors alors mon petit appareil et je "flashe" mon propre reflet. Etrangement, celui ci paraît alors ressentir un léger malaise et semble être "dévoré" par la lumière qui s'est dégagé de mon propre flash. Trop excité pour tenir compte de ce détail, je flashe encore deux fois mon "double" avant que celui ci ne disparaisse alors complètement, emportant avec lui la mystérieuse lumière froide qui envahissait la pièce. Désabusé, je reste un court instant devant le miroir qui ne me renvoit plus maintenant qu'une image normale avant de finalement, las, tourner les talons.
En passant à côté du cercueil de mon interlocuteur précédent, je constate que celui ci est vide. Curieux, je toque aux autres cercueils, pas de réponse. Je les ouvre, ils sont vide. Pris tout à coup du pressentiment de celui qui a fait une connerie, je sors alors du couloir en évitant discrètement l'oeil du gardien grâce à la pénombre qui régnait. Je pousse un ouf de soulagement en sortant de cette cave et je sors discrètement de l'Hôtel des impôts par une porte dérobée qu'un agent de service avait ouverte pour vider les ordures.
A titre d'information, voilà les trois clichés que j'ai pu prendre avant que mon double du miroir ne soit entièrement englouti par la lumière ambiante de mon appareil.
Quelque chose d'étrange me dit que les riches du coins vont payer beaucoup moins d'impôts d'ici l'année prochaine ...
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Mais attendez, comment je suis au courant de tout ça au fait ? Aurais je eu accès aux mémoires secrètes de Vlad Tepes précieusement gardées en Transylvanie ? *_*
Que nenni ! Dans le souci d'apporter une information claire et sans détour à mes lecteurs, j'ai décidé d'en savoir plus sur ces créatures en me rendant au nid de vampire le plus proche de chez moi : l'Hôtel des impôts.
Autant dire que je n'ai pas mis longtemps avant de les trouver. Sitôt entré, j'ai été mis mal à l'aise par l'atmosphère empathique qui se dégageait du personnel qui faisait de prudents allers retours entre les bureaux d'accueils et le premier étage. Alors que j'annonce venir pour demander la possibilité d'effectuer un stage chez eux, l'hôtesse me tend un bout de papier et m'indique le plus court chemin vers la cave. Gloup ! *_*
Pas dégonflé pour autant (ta daa !), je prend mon courage à quatre mains et je me dirige vers une salle à l'écart des autres bien plus miteuse que le reste du bâtiment. Prudemment, j'ouvre la porte où il est indiqué : Cave. Défense d'entrer ! Danger de mort ! Imperturbable, j'entrouve l'inquiétant accès qui s'offre à moi et d'où se dégage un très fort grincement. J'emprunte alors les escaliers en bois qui m'entraînent dans une pénombre aussi caverneuse qu'hostile.
Arrivé en bas, je tombe sur un couloir renfermant un petit bureau sur la droite faiblement éclairé par une torche. J'entre, je donne mon bout de papier, l'homme assis dans le bureau le lit et me demande si j'ai peur du noir. "Moi, peur du noir ?" lui lance je fièrement pas perturbé pour un euro. Il me donne alors un laissez passé et me dit de suivre le couloir jusqu'au bout, instruction que j'exécute aussitôt. Tout en longeant ce damné couloir à peine éclairé, il me parait flotter dans l'air une odeur âcre de moisi, comme si on avait laissé pourrir ici des fruits pendant des siècles.
Enfin, j'arrive au bout de mes peines en apercevant plusieurs cercueils au bout du couloir. Poliment, je prends la peine de toquer sur celui qui me paraît être le plus petit histoire de ne pas déranger le grand patron. Quasi spontanément, la boîte noire s'ouvre, laissant apparaître un homme brun vêtu d'un costume cravate noir. Encore dans le cirage, il m'adresse un regard vitreux avant de s'attarder brièvement sur mon cou pour se décider à me parler.
Rapidement, je lui explique le pourquoi du comment, que je suis là en fait pour faire un petit article sur les vampires, que c'est pour un blog hyper connu et qu'avec un peu de chance, un producteur le remarquera et qu'il pourra enfin se payer le cercueil de ses rêves en devant la star d'un nouveau film d'horreur à succès. Méchant mais naïf, le bougre finit par se laisser convaincre et me laisse accès à ce qu'il a appelé le convertisseur dimensionnel de la dimension Delta. Gné ?
En gros, et pour faire simple, il s'agirait d'un miroir où se reflètent par le biais d'un être la quintessence même des vampires suceurs de fric. Intrigué, je décide, armé de mon minuscule appareil photo dissimulé dans la poche avant de ma chemise, de me mettre en chasse de ce mystérieux miroir. Il ne me fallut pas longtemps pour le dénicher d'ailleurs puisque j'aperçus rapidement sur ma gauche un coin étonnament empli de clarté. Mais la lumière qui envahissait cette portion de couloir était plutôt froide, encourageant à trembler plutôt qu'à transpirer.
C'est alors que l'objet en question, le fameux "convertisseur", se dresse maintenant devant moi. Curieux, je m'en rapproche alors et je constate que plus je m'approche, plus la lumière abonde et plus la fraîcheur augmente. Interloqué, je me retrouve finalement face à face avec mon reflet dans ce miroir. D'abord normale, mon image va alors se déformer petit à petit pour laisser place à un double de ma propre personnalité mais en forme de vampire ! Berck *_*
Gagné par le frémissement de détenir un fameux scoop, je sors alors mon petit appareil et je "flashe" mon propre reflet. Etrangement, celui ci paraît alors ressentir un léger malaise et semble être "dévoré" par la lumière qui s'est dégagé de mon propre flash. Trop excité pour tenir compte de ce détail, je flashe encore deux fois mon "double" avant que celui ci ne disparaisse alors complètement, emportant avec lui la mystérieuse lumière froide qui envahissait la pièce. Désabusé, je reste un court instant devant le miroir qui ne me renvoit plus maintenant qu'une image normale avant de finalement, las, tourner les talons.
En passant à côté du cercueil de mon interlocuteur précédent, je constate que celui ci est vide. Curieux, je toque aux autres cercueils, pas de réponse. Je les ouvre, ils sont vide. Pris tout à coup du pressentiment de celui qui a fait une connerie, je sors alors du couloir en évitant discrètement l'oeil du gardien grâce à la pénombre qui régnait. Je pousse un ouf de soulagement en sortant de cette cave et je sors discrètement de l'Hôtel des impôts par une porte dérobée qu'un agent de service avait ouverte pour vider les ordures.
A titre d'information, voilà les trois clichés que j'ai pu prendre avant que mon double du miroir ne soit entièrement englouti par la lumière ambiante de mon appareil.
Quelque chose d'étrange me dit que les riches du coins vont payer beaucoup moins d'impôts d'ici l'année prochaine ...
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